jeudi 21 mai 2015

Sur ma lancée éditoriale je voulais conclure sur mes progrès de peinture concernant le corps du Général Reille à Waterloo. Lors de l'un de mes derniers messages le concernant, je présentais la division Bachelu, en précisant qu'il manquait 2 bataillons à faire pour cette dernière.
Aujourd'hui, il me reste à terminer 2 bataillons pour finir l'infanterie du corps.
Il s'agit du 100ième de ligne à 2 bataillons de 14 figurines chacun.
Ci-dessus, un des voltigeurs du 93ième de ligne. De façon arbitraire je leur ai attribué un shako original : galons verts à lisérés rouge. Un mannequin du musée de l'Armée porte une coiffure similaire, sans que je sache à quelle unité il appartenait.
Voilà, je vais reprendre la peinture des lisérés et galons rouges du 100ième, la peinture à bien avancée depuis que la photo a été prise.
Bonsoir à tous.
3ième Bataille jouée depuis un an, date de la dernière publication.
Les 3 parties ont été faites en "1870" avec Francis Adan comme adversaire - redoutable -.
Nous avons fait 2 versions de la bataille de Kulm, avec, la première fois des Français "Républicains" à la place des Français de 1813, et les Prussiens, joués par Francis, qui déboulent dans une belle plaine occupée par quelques collines centrales défendues par les Français. Les dés de commandement Teuton n'étaient pas extraordinaires, mais on se dit que ça suffira toujours pour déployer l'artillerie de corps... J'ai offert une belle résistance (je jouais Français).
Deuxième partie : les Prussiens occupent la place des Français en 1813 et ces derniers donnent l'assaut.
Pas d'artillerie de corps pour les Frisous, ils ont 2 divisions avec l'artillerie qui y test attachée (8 batteries).
En face : 2 divisions Françaises, toujours républicaine - donc 50% de mobiles - une brigade de cavalerie.
Entrée aléatoire des amis du Grand Orient - une seule division fait son apparition par la route la plus proche des positions Prussiennes... 2 batteries dans ladite division, en face : 8 batteries (Krupp et c'était pas des machines à café...), les 2 divisions d'infanterie qui déboulent, plus une division de cavalerie (3 brigades chez les Fridolins). Ce fut une expérience intéressante, c'est la première fois ( depuis que je ne joue plus avec des Airfix) que j'ai vue des bataillons partir en captivité. La deuxième division Française est péniblement apparue alors que la première achevait de se faire annihiler. Je n'évoquerai pas le niveau des ses bataillons de mobiles.
Tout ceci s'est joué avec Principle of War Editon de 1995, c'est une règle plaisante à jouer, si, si, j'insiste.
Troisième partie : J'ai pris des photos (ma deuxième fille pour être précis) et gros changement : je jouais Prussiens -comme cela ce ne sont pas toujours les même qui gagnent.
Vue Générale du Champ de bataille : Une division Française est entrée par la route à gauche en colonne de marche, une brigade Prussienne à fait de même par la route de droite, et l'a quitté immédiatement pour franchir la ligne de crête au premier plan. 6 bataillons, un régiment de dragons, et 2 batteries contre 13 bataillons dont des Zouaves et des Turcos accompagnés de 4 batteries d'artillerie + une mitrailleuse cela fait juste même si les Français étaient en colonne de route.
Sur la photo les Prussiens ont été repoussés : tout ce qui est sur, ou à droite de la ligne de crête à retraité lors des tours précédent. Le bataillon que l'on voit de face sur cette ligne est une unité de Zouaves s'apprêtant à charger de flanc un bataillon Prussien, tout le reste est en train de s'offrir un baroud d'honneur.
A peu près au milieu du terrain une autre brigade qui apporte un vague soutien à la première citée.
Les troupes de cette division avaient pour ordre de prendre le contrôle de la route coté Français.
Ces routes convergent vers un pont et son village. Une rivière traverse le terrain dans sa largeur à ce niveau.
Le but du jeu étant de prendre le contrôle du pont et du village, deux autres divisions se sont précipitées par 2 routes partant des angles opposés du terrain vers le carrefour névralgique que l'on distingue dans le lointain au centre du terrain. Les bâtiments sur la droite appartiennent à une grosse ferme.
 Vue du carrefour et de son pont : le tout est occupé par les Français qui en étaient les plus proche.
 Par cette route est arrivée une brigade Prussienne qui n'a rien pu faire contre les troupes retranchées, une seule mélée perdue, trois assauts repoussés au moral. L'artillerie en retrait sur une colline impuissante face à la qualité de la "couverture" : 2.
 Deuxième brigade de cette autre division, arrivée très lentement à cause de dé de commandement calamiteux..
Dans la dernière version de PoW. les divisions Prussiennes ont droit à un général pour commander le tout (dé de moyenne, minimum 2) et à un officier d'état major (D6)
 La position Française est "blindée" : pont défendu par des Zouaves, les fantassins dans le bâtiment légèrement en arrière, ont fait un "10"lors de leur test de valeur, la haie qui commence à gauche, voir photo ci-dessous.
 Un bataillon en défense en bout de ligne et un alignement de pièces d'artillerie.
 On revient sur les premiers combats présentés : voici les unités Prussiennes qui ont dévalé la pente, et qui maintenant sont sur le point d'être enveloppées.
 Un des 2 régiments de Dragons qui ont participé à cette victoire Française.
Mon échec est dû à la dispersion de mes attaques  - et de mon artillerie.
Ce fut une belle partie jouée avec Francis Adan et un vieux camarade (de presque trente ans), Kriegspieler de toujours, ci-devant Tirailleur-Grenadier de la garde et reconverti dans la scie et le couteau, c'est à dire chirurgien de la Garde (dans le cadre d'activité de reconstitution historique).